A Propos de moi Info sur moi : ancien militaire britannique ~ nombreuses cicatrices Dispo RP : Oui
Hola, Mi nombre es
Sam King
Could it be magic ?
Sujet: Call me King Sam ! Jeu 16 Mai - 23:17
Samuel King
33 ANS
24 AOUT
MANCHESTER
BARMAN
CELIBATAIRE
100% HETERO
I LOVE SATURDAY
FT. DANIEL SHARMAN
Caractère
Je m'énerve facilement, je suis impulsif. Je dois me maîtriser pour ne pas être violent, alors il ne vaut mieux pas me chercher. Voilà, ça c'est mes plus gros défauts. Alors je ne suis pas toujours sociable mais une fois la glace brisée, je suis un mec cool, toujours partant pour s'éclater, je peux même être drôle. Je n'ai pas ma langue dans la poche. Si je suis protecteur et même doux avec les gens que j'aime, je suis cash et je peux être blessant avec les autres. Je suis sportif, j'entretiens ma forme et mon corps. Je cours et je boxe, ça me permet de me canaliser. Je sais être charmeur quand il le faut, avec les clientes surtout. Je suis fier et sûr de moi. Avec moi y'a pas de demie mesure.
PSEUDO: Ici ; ÂGE: Ici ; PRÉSENCE SUR LE FORUM : X/7j ; COMMENT AS TU CONNU LE FORUM : ici ; UN PETIT MOT ? : ici
FICHE PAR ATHENA.
A Propos de moi Info sur moi : ancien militaire britannique ~ nombreuses cicatrices Dispo RP : Oui
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Sam King
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Sujet: Re: Call me King Sam ! Jeu 16 Mai - 23:19
Always ♫
Ma mère a toujours dit que je lui causerais des problèmes. Petit, j’étais une terreur. Du genre hyperactif, incapable de tenir en place, à faire le con pour attirer l’attention. Elle m’a élevé seule. Mon daron n’a jamais assumé. Il était déjà marié. Je l’ai croisé plusieurs fois, c’est un concessionnaire automobile. Une fois il m’a filé de l’argent, plus pour que je dise rien à ses gosses que pour faire amende honorable. Il sait pas la connerie qu’il a faite car à chaque fois que j’ai eu besoin, j’ai réclamé, souvent. Ma mère ça ne lui plaisait pas, elle me disait de ne pas le racketter. Ça me faisait marrer.
Ce qui a marqué le plus ma vie je dirais que c'est le foot. Petit j'adorais ça et c'était la seule chose qui me canalisait. En grandissant, j'ai découvert un autre aspect de cet univers et j'ai commencé à me battre après les matchs. Entre supporters. Comme si c'était un sport aussi. Je suis devenu un Hooligan. J'a pas toujours été le bienvenu vu ma peau basanée mais je frappais fort, ça faisait fermer des gueules. Je ne compte pas le nombre de fois où j'ai fini au poste ou à l'hôpital. Sur la fin je ne jouais même plus vraiment au foot. Ma copine en avait marre mais j'avais ça dans le sang. Elle est partie avant que ça tourne au vinaigre. Il fallait que ça arrive, tout le monde le disait.
Rendez-vous au terrain vague avec un autre clan. Affrontement plus que rendez-vous. Un mec que j'avais éclaté devant sa femme a eu idée de se venger. Il a ramené un flingue. J'ai pas vu le coup partir, j'ai senti la douleur cuisante dans mon épaule. Il a visé le cœur mais il était nul. Me voyant au sol, loin d'agoniser, près à me relever il a voulu tirer encore. Mon meilleur ami s'est mis en travers. Il n'a pas réussi à lui prendre l'arme. Il a pris une balle dans le ventre. Je ne sais pas comment exactement ça s'est fini, j'ai juste le souvenir de Terry dans mes bras, de moi hurlant que je devais monter avec lui dans l'ambulance, refusant de me faire soigner tant que je ne savais pas pour lui. Les médecins ne l'ont pas sauvé. J'ai retrouvé le mec une fois que j'ai été remis en état...
J'ai pris un an ferme pour violences aggravées. Il faut souvent un coup de pied au cul pour se prendre en mains. Quand je suis sorti, aller au match, au pub, ça n'avait plus qu'un goût amer. Je ne trouvais plus d'intérêt à tous ces mecs que je fréquentais depuis des années. J'en pouvais plus de Manchester. Je suis parti à Londres voir si ça pouvait recoller avec ma copine. Mais ça ne l'a pas fait. J'ai été repéré pour être mannequin. Il y a encore quelques mois j'aurais rigolé en m'imaginant poser et défiler, mais là c'était l'occasion de sortir de ma routine déprimante.
J'ai voyagé. Je ne suis pas devenu top model, il n'y a que les vrais accros à la mode et aux pubs pour me reconnaître. Mais j'ai fait du fric et je me suis éclaté jusqu'à en avoir marre. Le destin m'a fait recroisé la route de Rob McConnor. J'ai repris un bar à Bristol il y a environ six piges et il a débarqué un beau jour. Je lui en devais une de la prison alors j'ai accepté que mon bar serve de QG pour son gang. Evidemment, ça me plaisait moyen mais ce mec m'avait sauvé le cul, littéralement, et peut être même la vie. Et puis le temps passant, c'est devenu un ami, un frère.